Parfois, il y a la nuit qui nous tend ses bras
pour une valse sans musique.
Parfois, mon oreille attentive y entend des rires d’enfant,
des murmures de grand.
Parfois la lune est belle,
ronde et blanche,
éclairant les draps froissés du lit de la vie.
Parfois,
dans cet infernale errance,
ta main se pose sur mon cœur qui se consume,
petit à petit.
Parfois j’entends la pluie qui rebondit sur le toit,
coule dans les gouttières,
frémit dans les caniveaux.
pour une valse sans musique.
Parfois, mon oreille attentive y entend des rires d’enfant,
des murmures de grand.
Parfois la lune est belle,
ronde et blanche,
éclairant les draps froissés du lit de la vie.
Parfois,
dans cet infernale errance,
ta main se pose sur mon cœur qui se consume,
petit à petit.
Parfois j’entends la pluie qui rebondit sur le toit,
coule dans les gouttières,
frémit dans les caniveaux.
Parc de la Tête d'Or, 29 octobre 2017, 18h45.
Parfois tu me dis je t’aime, et ça c’est beau.
Et souvent je suis émue en te lisant. Et tout se mêle dans cette belle nuit de songes.
RépondreSupprimerC'est la force de la poésie de donner à l'émotion sa part de frissons.
SupprimerLes nuits ne cessent de rendre le poète fou...
Parfois c'est mieux que rarement... ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Parfois, c'est surtout mieux que jamais.
SupprimerBises de toujours.