L’automne, sa pluie lourde, ses chaudes nuances ensorcelantes, ses petits instants aux couleurs somnolentes papillonnant dans l’air du jour charmant avec ses tenues de taffetas parfumées.
La nuit qui suit le jour emporté par un gris roulement de tambour alors que suintent, bavardes et collantes, les dernières notes ternes des lumières écrasées sur les chemins perdus entre les vignes.
L’automne, et mon cœur fatigué pleure dans des silences affolants où déambulent les tremblements cruels des âmes innocentes, empêtrées au milieu des méandres d’un monde devenu fou, et ses lendemains incertains.
Alors, je regarde danser les parapluies…