Photo glanée sur le net. Yaroslav Shuraev. |
Tu riais,
Féline et déroutante.
Tu te roulais,
Gourmande,
Dans les draps
Ondoyants et souples
Et ton rire incandescent brillait sur ta gorge
En mille éclats orangés
Pendant que l’aube amoureuse illuminait
Tes seins offerts,
Tes reins cambrés,
Ton ventre tendu.
Dans ce désordre de folie,
Je te berçais délicatement,
Laissant nos peaux se caresser,
Féline et déroutante.
Tu te roulais,
Gourmande,
Dans les draps
Ondoyants et souples
Et ton rire incandescent brillait sur ta gorge
En mille éclats orangés
Pendant que l’aube amoureuse illuminait
Tes seins offerts,
Tes reins cambrés,
Ton ventre tendu.
Dans ce désordre de folie,
Je te berçais délicatement,
Laissant nos peaux se caresser,
Un voile de velours enveloppait
La silhouette de la nuit s’évanouissant,
Ma tête lourde s’écroulait contre tes hanches,
Étroites et nues.
Au réveil,
La pluie dansant sur les persiennes closes,
Berçait nos cœurs évanouis d’amants épuisés.
La silhouette de la nuit s’évanouissant,
Ma tête lourde s’écroulait contre tes hanches,
Étroites et nues.
Au réveil,
La pluie dansant sur les persiennes closes,
Berçait nos cœurs évanouis d’amants épuisés.
Le matin détrempé tirait ses premiers rayons tièdes,
Rideau éphémère,
Sur notre amour insatiable,
Rafraichi d’une tendre lueur.
Rideau éphémère,
Sur notre amour insatiable,
Rafraichi d’une tendre lueur.
La nuit,
En s’éloignant sans se retourner,
S’en allait froisser
Les roses pourprées sur l’horizon indigo.
En s’éloignant sans se retourner,
S’en allait froisser
Les roses pourprées sur l’horizon indigo.
Tellement sensuel et beau.. je relis
RépondreSupprimerLumière, nuit, même sans la lune tout est possible.
SupprimerTu dis si bien l'amour est ses franges humides, dans la douceur du petit matin.
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah! L'amour... et ses petits matins de rêve... ses parfums uniques... et cette petite musique des coeurs affolés qui battent de concert... C'est si bon. Bises matinales.
SupprimerFolie amoureuse quand le monde s'évanouit et que l'on oublie tout...
RépondreSupprimerÊtre ailleurs l'espace d'un instant tout en vivant le présent intensément.
SupprimerFusion incandescente
RépondreSupprimerDurant la quête oppressante
De cette extase indécente
Dont l'envie est incessante
Bonjour Letienne,
Complètement en osmose avec tous les précédents commentaires,
je suis tombée en pâmoison devant les vers sensuels à souhait de
ce poème qui saurait émoustiller les plus prudes esprits !
Bravo et bises cher poète
Sentir, ressentir, c'est vivre.
SupprimerÉcrire c'est prolonger le bonheur de l'instant.
Mais n'est-ce pas le rôle du poète?
Bises du soir.