Le jour
Finissant
Engloutit le chemin
Tu me sers dans tes bras
Soubresauts fous
Nerveux
Doux
Parfumés et poivrés
Doux murmures de ta peau
Tendre
Brûlante
Effervescente
L’automne déambule
Dans les bois
Assoiffés
Colorés
Fièvre de musc
Boisé
Envoutant
Hallucinant
Et tes
baisers dans le noir
Griffant
Le flanc
De mon sommeil
Égaré
Dans la folie
Soyeuse de la nuit
Quand tu mors
Les restes de lumière
De ta bouche en feu
Affolante
Amoureuse
Gourmande.
Une autre gourmandise à savourer ...
RépondreSupprimerDes mots d'amour et de folie dans les braises d'or de l'automne
Un temps, l'automne nous bouscule dans sa féérie colorée.
SupprimerUn autre, il nous laisse ronronner dans ses brumes dorées.
Et puis le lierre s'accroche à un tronc d'un vieux chêne pour nous guider vers l'amour.
Et c'est la nuit qui nous offre une dérive gourmande...
Les baisers dans le noir sont les plus romantiques selon moi. :-) J'aime donc beaucoup les pannes d'électricité. :-) Bises alpines.
RépondreSupprimerBaisers de nuit, baisers dans le noir, découverte à la Colin-maillard...
SupprimerIl y a, c'est vrai, un peu de romantisme dans tout ça.
Je n'y avait pas pensé.
Bises d'automne ligérien.
Ô Passion dominante
RépondreSupprimerQui fait de nous tous ses pions
Fous, lorsqu'elle est abstinente
Rois, en tant que ses champions !
Bonsoir Letienne,
Que dire d'autre que c'est beau ! Et que j'aurais aimé être inspirée des vers d'un tel poème.
Bonne soirée, bises poète
J'ai le bonheur d'avoir une muse délicieuse,
Supprimerqui se joue des extravagances des saisons.
Elle m'emporte dans ses voyages gorgés de lumière.
Bises pour une bonne nuit.
Coucou Poète,
RépondreSupprimerWhaou ! Que dire après cela ! Comme à ton habitude, tu sais tellement bien écrire la passion amoureuse (dans tous ses états) ! Quel poète (et merci aussi à la muse qui t'inspire de si jolis écrits).
Bises
Fabrice
Et oui, quand la muse s'amuse, le poète abuse
Supprimerdes mots enchevêtrés et attend la nuit avec ruse...
Heureux de te voir de passage.
J'espère que tu vas bien.
Bises en retour Poète, et mon salut émerveillé à Paris la belle.
(J'y reviendrai dès que possible)