Des vibrations
de fleurs, sans parfum, blanches,
En écho aux
chagrins fardés de pudeur.
Écrasée par
le silence violet qui engourdit l’ombre,
Elle dort
doucement…
Calme,
Légère
Apaisée.
Son lit est un carrefour de tissus frais où s’égrènent des reflets improbables.
Une paix
cruelle étouffe, sur des chaises éparpillées, des corps gorgés de larmes qui se
taisent dans des regards éventrés par une lumière sans horizon.
La fin de voyage où sa voix s’est tue, son rire s’est évaporé, où son soleil s’est couché.
Pendant ce temps, terni et dérisoire, j’entends la mer caresser le sable juste avant la barrière des dunes. Le temps s’est arrêté dans le dernier rouleau des vagues. Seul un sel sauvage et piquant brille encore dans le coin de mes yeux.
Deuil ?
RépondreSupprimerTrès belles photos, en tout cas...
Un deuil fulgurant.
SupprimerQuand la Faucheuse frappe sans indulgence ni discernement.
Lâchement.
Reste le cœur qui tremble.
Les photos me force à l'apaisement.
Un soleil qui se couche, c'est la promesse de la lune qui va se lever parmi les étoiles et éclairer son chemin. Il faut y croire pour apaiser sa douleur. Bises alpines affectueuses.
RépondreSupprimerJe pense et je crois que là où elle nous voit encore,
Supprimerelle est sur le bon chemin et qu'elle ne souffre plus.
Dans les bruits de la mer, le murmure du vent, c'est son rire que j'entends...
Je te serre dans mes bras
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸🦋
Et un vent doux, léger, emporte mes ombres amères
Supprimerloin de mes nuits.
Merci.
Bises complices.
Le voyage est parfois interrompu brutalement, laissant les proches, abasourdis, anéantis.
RépondreSupprimerBises amicales et affectueuses, Letienne.
Et malgré tout vivre, pardessus tout vivre avec dans le cœur de notre mémoire le souvenir des bouts d'existences heureuses, partagées. Et dans notre vie d'après, où sont semés des silences, provoquer les partages précieux qui nous donnent la force d'aller plus loin.
SupprimerMerci pour tes mots.
"Où es-tu ?
RépondreSupprimerJe te cherche au-dessus du bel horizon dans ce qui respire encore
Dans chaque souffle d'air le long des sentiers aux odeurs parfumées
Dans chaque brin d'herbe
Chaque feuillage
Chaque pin centenaire
Chaque chêne Kermès que le mistral décoiffe et libère
Dans la poussière qu'il soulève
Dans les paysages de ton enfance.
Près du sOleil qui réchauffe près de la lune qui embrase
Je te cherche près de la pierre moussue
Je te cherche".
Den
Je comprends ta solitude letienne, et te serre fort dans mes bras qui réchauffent.
Comme ce que tu écris est beau!
SupprimerJe suis touché.
Merci pour ta chaleur offerte.
Je t'embrasse.