Ce soir, perdu dans cette vie qui va si mal, Ces fleurs d’été mourant qui tendrement s’embrassent, Offertes pour taire les haines, les menaces, Que l’intolérance ne soit jamais banale...
Mon cœur est douleur et mes pauvres mots sont morts.
Ma ligne de l'air Dans le vide désespère Mes mots mohair en colère Ici et/ou au loin Crient, cachés Et la vie dans un recoin enterré Joue pourtant à la porte sous le vent.
Ma peau-écorce sent les larmes à fleur Qui transpirent et aspirent encoeur aux rêves mouillés.
J'enlace toutes les solitudes égouttées Et tresse les douleurs dans leur crinière feu, Sur le fil qui ne chante plus Ne se balance plus.
J'erre et pleure abreuvée Dans le silence de l'instant raccordé.
Je ne suis pas fan des hommages. La vie me fait peur désormais. L'avenir tout autant. Je suis sans mot, sans voix. Ton texte vient en écho au mien. Merci.
Toutes les fleurs de vie et d'amour de notre monde Se fanent et meurent sous les orages de la haine, les éclairs de la violence Laissant sur la terre leurs pétales mouillés de pleurs
Je ne sais pas si la vie va si mal. Peut-être que c'est nous qui allons mal, nous qui ne savons pas voir le beau qui existe pourtant, dans toute cette noirceur. Les fleurs sont là pour nous rappeler que la nature est un baume sur nos souffrances. Bises alpines.
Les mots ne meurent jamais vraiment, ils rebondissent , prennent une autre intensité, une autre couleur, passent de bouche en bouche, de cœur en cœur leur donnant ainsi une autre résonance. Aucune douleur n'est identique et je comprends la tienne.
Ma ligne de l'air
RépondreSupprimerDans le vide désespère
Mes mots mohair en colère
Ici et/ou au loin
Crient, cachés
Et la vie dans un recoin enterré
Joue pourtant à la porte sous le vent.
Ma peau-écorce sent les larmes à fleur
Qui transpirent et aspirent encoeur aux rêves mouillés.
J'enlace toutes les solitudes égouttées
Et tresse les douleurs dans leur crinière feu,
Sur le fil qui ne chante plus
Ne se balance plus.
J'erre et pleure abreuvée
Dans le silence de l'instant raccordé.
Le temps épuise sa terre, effrité.
Merci letienne pour cet hommage !
Je ne suis pas fan des hommages.
SupprimerLa vie me fait peur désormais.
L'avenir tout autant.
Je suis sans mot, sans voix.
Ton texte vient en écho au mien. Merci.
Toutes les fleurs de vie et d'amour de notre monde
RépondreSupprimerSe fanent et meurent sous les orages de la haine, les éclairs de la violence
Laissant sur la terre leurs pétales mouillés de pleurs
Le n'ai pas réussi à l'écrire aussi bien que toi...
SupprimerJe ne sais pas si la vie va si mal. Peut-être que c'est nous qui allons mal, nous qui ne savons pas voir le beau qui existe pourtant, dans toute cette noirceur. Les fleurs sont là pour nous rappeler que la nature est un baume sur nos souffrances. Bises alpines.
RépondreSupprimerCe soir, je n'ai pas la force de ton optimisme.
SupprimerBises.
J'espère que tu vas mieux mon ami.
RépondreSupprimerJe t'écris en privé.
Gros bisous
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
A tout de suite.
SupprimerBises du soir.
Les mots ne meurent jamais vraiment, ils rebondissent , prennent une autre intensité, une autre couleur, passent de bouche en bouche, de cœur en cœur leur donnant ainsi une autre résonance. Aucune douleur n'est identique et je comprends la tienne.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression qu'ils rebondissent dans la boue...
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerTout est dit dans tes vers, nous ne serons hélas plus tout à fait les mêmes dans ce monde qui s'emballe, et nous emporte on ne sait où...
Je pense savoir où ils nous emporte, c'est le temps du voyage que je ne connais pas.
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