Dans une douce nuit d’un printemps sage, assoupi dans la ville, je regardais le ciel avec dans mon cœur le désir fou d’être ailleurs. J’espérais m’envoler pour conquérir le bonheur niché dans les étoiles, avant qu’il ne se cache dans la chimérique voie lactée. Un souhait, pas une supplique. La vie malicieuse m’a offert bien plus que ce voyage impossible, un rêve éblouissant pour mon âme d’enfant. Un rêve improbable d’où ont jailli mille et une lumières vivantes, au rythme émerveillé de mes rires de bambin.
Magie des lumières! En effet un bon moment pour s'émerveiller et rêver comme les enfants...
RépondreSupprimerJ'ai bien été un enfant pendant ce défilé...
SupprimerUn coeur de poète ne saurait être insensible à ce qui touche les coeurs d'enfants.
RépondreSupprimerOn a tellement besoin de magie. Ce devait être superbe.
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Ne suis-je pas un éternel enfant, poète et rêveur?
SupprimerLa magie de l'enfance ne doit jamais s'éteindre.
Bises pleines de ces étoiles lumineuses.