La plage, légère dans sa lumière salée, son sable
fin gorgé de soleil…
La mer déroulant sa fragile dentelle d’écume à la
lisière de son édredon bleu,
Nos pas sur le sentier caillouteux au parfum de découverte,
Nos rêves guidés par des pierres de fortune en
équilibre sur le temps vagabond,
Et nos yeux déjà tristes de ne plus être là-bas…
J'ai déjà bien sillonné la Bretagne mais je ne suis pas encore allée à Pléneuf-Val-André. Tes mots et tes photos, qui en parlent si bien, me donnent envie de découvrir ce bel endroit. Je note pour l'année prochaine, peut-être... (sourire).
RépondreSupprimerUne douce nuit à toi, Letienne.
C'est une partie de la Bretagne que je ne connaissais pas non plus,
SupprimerJ'y retournerai...
C'est une terre envoutante.
Le temps vagabond
RépondreSupprimerEnserre nos rêves
Dans des boîtes à souvenirs
Comme tu l'écris bien...
SupprimerMerci du cadeau.