Je ne pouvais pas aller à la rencontre de Prévert sans
prendre mon temps, sans chanter dans ma tête comment peindre un oiseau, oublier
le cancre, penser à Barbara… J’allais, d’une main timide et d’un pas curieux,
feuilleter son jardin, enfin presque son jardin. Plutôt le lieu magique où j’ai
pu sans crainte, m’introduire dans son univers. Respirer sa folie poétique
semblant être sorti de son imaginaire de saltimbanque éclairé. Un bel hommage
tout en poésie...
Billet en mode vacances, tout en photos…
Merci Etienne pour cet itinéraire parmi les vers et la verdure de Prévert.A travers les images des paysages, on comprend mieux son univers.
RépondreSupprimerTu me donnes envie d'y aller si un jour je passe par là-bas:
RépondreSupprimerLe Jardin
Des milliers et des milliers d'années
Ne sauraient suffire
Pour dire
La petite seconde d'éternité
Où tu m'as embrassé
Où je t'ai embrassée
Un matin dans la lumière de l'hiver
Au parc Montsouris à Paris
À Paris
Sur la terre
La terre qui est un astre.
Jacques Prévert, Paroles
Adorable endroit !
RépondreSupprimermerci letienne.
Heureux dimanche.
Mais il est où ce jardin ? Il a l'air magique !
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