Une pâquerette s'est ouverte dans le vent de la nuit,
entre deux rails de chemin de fer, là où passent les trains.
Je me suis baissé, baissé, et je l'ai respirée.
Elle ne m'a rien laissé sentir, et s'est fanée.
Dans la nuit, quand rodent les chiens et les loups, rien ne peut pousser. Rien ne peut fleurir.
Alors, je suis descendu de ma lune. J'ai quitté mon rêve, renversé mon encrier, jeté ma plume. J’ai couru le long des rails. L’air vif me piquait le cœur, me frictionnait les oreilles…
… et j’ai cueillis ma pâquerette avant qu'elle ne soit fanée.
Je me suis baissé, baissé, et je l'ai respirée.
Elle ne m'a rien laissé sentir, et s'est fanée.
Dans la nuit, quand rodent les chiens et les loups, rien ne peut pousser. Rien ne peut fleurir.
Alors, je suis descendu de ma lune. J'ai quitté mon rêve, renversé mon encrier, jeté ma plume. J’ai couru le long des rails. L’air vif me piquait le cœur, me frictionnait les oreilles…
… et j’ai cueillis ma pâquerette avant qu'elle ne soit fanée.
Tu vois, une pâquerette qui pousse entre les rails du train, c'est une invitation au voyage. Bises alpines et bon dimanche.
RépondreSupprimerEt moi, je me laisse embarquer!
SupprimerBises de la Loire sous le soleil.
Petite pâquerette, espoir de renaissance
RépondreSupprimerAvec Dame nature, dès que nous ne serons plus là, tout sera à nouveau possible.
SupprimerLa pâquerette parle toujours d'Amour...
RépondreSupprimerD'amour et de voyage...
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