Le jour prend la main
de la nuit qui tremble de peur.
Le ciel est bas.
Des éclairs sauvages sortent de terre.
Un vent noir torture les ombres inertes
sombrant dans le sommeil interdit.
Des cris de colère montent en autant de nuées
ardentes,
bruyantes,
effrayées.
Les repères tangibles de la sagesse s’égarent dans le vacarme ininterrompu de
huées incendiaires.
Le Veau d’Or est de retour,
avec dans son sillage le chant des bourreaux
que les plaintes des esclaves couvrent déjà.
La colère est dans la rue, en France. Mais ce n'est jamais très bon d'être en colère... Bises alpines
RépondreSupprimerLa colère est mauvaise conseillère, oui.
SupprimerPour la comprendre, il faudra bien l'expliquer.
Bises tristes.
La colère est très présente en cette période, la colère gronde, la colère s'insurge, la colère pleure...
RépondreSupprimerBonne fin de journée, Letienne. Bises.
Et l'angoisse monte en nous...
SupprimerBises.
superbe interprétation du tableau, cette colère qui inonde les rues et les cœurs toujours présente..et cela ne va pas s'arranger
RépondreSupprimerCe tableau d'hier, la rue d'aujourd'hui, toujours la colère malgré le temps passé.
SupprimerNous n'avons pas avancé.
Seules l'angoisse et la peur font leur chemin.
Colère, violence
RépondreSupprimerLe passé ne sert pas de leçon à l'humanité...
Reste la peur, l'incompréhension...
Quand est-ce que tous ensemble pourrons-nous construire un monde de paix fait d'écoute et de tolérance....,?
Je crains fort au fond de moi de ne jamais le voir ce pays de Paix et d'Amour...
SupprimerLa colère qui bout contre un gouvernement
RépondreSupprimerJouet d'un chef d'état si pauvre en empathie
Que l'on pourrait y voir fait de psychopathie
De ne l'avoir sentie avec discernement !
Bonjour Letienne,
Un poème très puissant comme un cri de révolte ! Mon opinion
est définitivement faite au niveau du bonhomme ! Un dicton aux
Antilles dit on fait pas le sang sortir d'une pierre, autrement dit
de sentiments jaillir d'un cœur de pierre mais j'ai peur justement
que tout ceci ne finisse dans le sang.
Bon week-end Poète
Il suffirait de si peu pour que tout s’arrête.
SupprimerUn minimum de considération et de respect.
Et la fin du pouvoir de l'argent dont la course folle fait de nous des esclaves.
Il suffirait oui d'un peu de respect, juste un peu d'intelligence , juste un rien pour que chacun efface ce pouvoir de l'argent , ce pouvoir tout court qui n'apporte aucune liberté mais fait de nous des esclaves , esclaves en particulier des médias et de quelques réseaux sociaux qui sèment la haine plutôt que l'entente, l'écoute et la paix...
SupprimerNous sommes en phase.
SupprimerIl y a beaucoup de colère dans le monde en ce moment. Une colère qui va avec la peur, et parfois le désespoir....
RépondreSupprimerEt comme tu dis, il suffirait de si peu pour que tout s'arrête. Mais c'est encore trop pour certains...
Hélas.
SupprimerCe monde nouveau nous isole et cette solitude nous fera disparaitre.
Rien ne changera donc ?...
RépondreSupprimerLe veau d'or est toujours debout !
Quelle tristesse que de ne rien voir d'autre que le pouvoir et l'argent...
En attendant je t'envoie des bises depuis mon ile sous la brise.
Une brise et des bises qui me font le plus grand bien.
SupprimerMerci.
Bises du vent frais qui caresse ma Loire.