La terre, à peine tiédie
des silences amers de la fourbe fin du jour, tend sa joue vers le ciel, rieuse,
joyeuse… les couleurs sont parfums, les éclats de lumières sont liqueurs.
Et mes songes se diluent, paresseux, dans le vent qui m’engourdit.
Sagesse tu me tiens avec ton sourire écarlate, ta mine
distraite et tes promesses de tendresse…
Forêt domaniale de Bourgueil dans les lumières de l'hiver...
Coucou le poète. Se promener en forêt aurait, paraît-il, des vertus apaisantes... Je suis pour cette hypothèse car chaque fois que je rentre d'une balade dans les bois, je me sens toute sereine devant les obstacles qui m'attendent. Bises alpines.
RépondreSupprimerUne balade comme un voyage dans le pays de la lumière.
SupprimerIl fait froid, le vent pique, mais on est heureux de marcher, les yeux grands ouverts.
Bises de la forêt.
Silence des forêts qui murmurent leurs chansons de feuilles et d'arbres
RépondreSupprimerUn murmure tout en tendresse...
Supprimer"La nature est là, qui nous aime" écrivait Lamartine.