Le soleil martèle la pierre sans faiblesse
comme un voyou répète son mensonge sans relâche.
Le banc ne sert à rien.
Le Canon s’est tu.
La mer s’abandonne à des rêveries bleues,
l’échauguette demeure suspendue
au-dessus du vide.
Le temps vibre dans le vent.
comme un voyou répète son mensonge sans relâche.
Le banc ne sert à rien.
Le Canon s’est tu.
La mer s’abandonne à des rêveries bleues,
l’échauguette demeure suspendue
au-dessus du vide.
Le temps vibre dans le vent.
Quelle beauté fascinante
que cette empreinte de l’histoire
reposant dans l’air salé et brûlant.
que cette empreinte de l’histoire
reposant dans l’air salé et brûlant.
Alors viennent les rumeurs du port qui ronronne,
un peu plus bas.
De longs soupirs frais le long des bateaux posés là,
bijoux blancs se dodelinant dans une vitrine claire,
le long des quais.
Écrin paisible de leur silence sage.
un peu plus bas.
De longs soupirs frais le long des bateaux posés là,
bijoux blancs se dodelinant dans une vitrine claire,
le long des quais.
Écrin paisible de leur silence sage.
Je te regarde.
Cette belle lumière te va si bien.
Elle donne à tes yeux un éclat qui me fait rêver.
Tu caresses, de tes mains fines, les pierres chaudes…
Cette belle lumière te va si bien.
Elle donne à tes yeux un éclat qui me fait rêver.
Tu caresses, de tes mains fines, les pierres chaudes…
Le Fort St Angelo, 10 octobre 2018.
"Pierres chaudes" et éclats de lumière pour un rêve!
RépondreSupprimerLe bonheur de la lumière dans un écrin d pierres chaudes.
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