La route du
retour s’étale en un long,
triste ruban noir strié de blanc.
Ce n’est plus la montagne, mais pas encore une plaine.
C’est triste une route qui défile sans cesse,
implacablement monotone même.
Partir est toujours un cri silencieux qui souligne l’abandon
de moments frais rangés dans une mémoire numérique.
Il y a ces gens croisés que nous laissons derrière nous.
Avec leurs rires qui se sont passés de notre présence
avant notre venue.
triste ruban noir strié de blanc.
Ce n’est plus la montagne, mais pas encore une plaine.
C’est triste une route qui défile sans cesse,
implacablement monotone même.
Partir est toujours un cri silencieux qui souligne l’abandon
de moments frais rangés dans une mémoire numérique.
Il y a ces gens croisés que nous laissons derrière nous.
Avec leurs rires qui se sont passés de notre présence
avant notre venue.
Qui résonneront sans nous après.
C’est un peu ça l’histoire du temps qui passe et que nous ne pouvons pas mettre à l’arrêt,
même pour le court plaisir de le contempler.
Il faut stocker ces petits délices,
dans notre tête,
pour en habiller nos rêves,
les jours gris venus.
Une pause s’impose
pour prolonger ce séjour bonheur.
Dôle nous tend ses bras et nous ouvre son cœur.
Le soleil, le ciel bleu, des vielles pierres…
Soyons fous, la maison peu attendre notre retour
un jour de plus.
Dôle nous tend ses bras et nous ouvre son cœur.
Le soleil, le ciel bleu, des vielles pierres…
Soyons fous, la maison peu attendre notre retour
un jour de plus.
Pause méridienne à Dôle (39), 29 juillet 2018.
Vous avez fait le plein de soleil, de rires et de moments de complicité. La belle nature vous a tendu les bras. Alors il reste les beaux souvenirs. Comme tu le dis, ils mettront du soleil les jours gris qui vont arriver. Bises alpines et belle fin de semaine.
RépondreSupprimerOn est jamais trop prudent, ce qui est pris est pris!
SupprimerUne jolie pause à Dôle avec de jolies photos...Toutes ces images rallumeront les souvenirs et réchaufferont les soirées d'hiver...
RépondreSupprimerUne belle découverte en tous cas, et le tri des photos se fera au retour des mauvais jours.
SupprimerLe baladin que je suis ne ferme jamais son sac tout à fait.
Je connais cette sensation d'avoir envie de faire traîner les vacances encore un peu...juste un tout petit peu...
RépondreSupprimerBisous cher poète
¸¸.•*¨*• ☆
Faire trainer les choses quand elles sont délicieuses...
SupprimerJe m'y applique.
Bisous ma belle.