La frêle lumière juste tiède d’une
terrasse.
Le Louvre n’est pas bien loin.
La nuit ouvre ses portes et laisse
s’échapper mon rêve.
Un café. Une rue de Paris. Une rue
dans Paris. Ta pause triste, ingénue. Une rue nue et froide parce qu’en hiver.
Brillante, humide… Ton regard perdu, ta mine défaite. Obscure Diva. L’ombre
moirée d’un chocolat chaud qui fume tendrement jusqu’à tes yeux. Une
larme ? Une cigarette ?
Je suis passé, pressé. Les épaules
timides enfouies dans un imperméable, les mains ratatinées dans le creux de mes
poches.
Tu ne m’as pas suivi…
Les réverbères regardent la pluie
éclabousser les pavés.
Ils brillent déjà en attendant tes
pas…
Tes pas, pour que la musique de
tes talons scintille dans le soir.
La musique qui scintille, j'aime beaucoup
RépondreSupprimerComme le poème dans son entier, d'ailleurs
Gros kiss
¸¸.•*¨*• ☆
Ah! Paris... une autre femme qui m'inspire...
SupprimerChez elle, même la pluie est belle.
Bises scintillantes.
Tes mots, tout en nostalgie. On entend le crépitement discret des gouttes de pluie sur le pavé, on sent le fumé du chocolat et on observe la mine ingénue de la belle. Belle journée!
RépondreSupprimerParis a cette facilité d’être magique à chaque instant du jour et de la nuit.
SupprimerJe n’y peux rien…
Bien sûr, c'était moi...qui d'autre enfin ? ;-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
J'en étais sûr...
SupprimerBises de Paris.