Le satin de mes
silences
ronronne
dans
le creux de mes peurs.
Et la pluie règne en maitre
au cœur de la campagne glaciale
où
un horizon gris jette ses cris sourds
dans la folie du vent.
Le monde meurt
et
l’homme sauvage chante
au
milieu d’un tourbillon mortifère.
La raison s’est laissé gangréner
par
un fiel toxique
se glissant dans nos veines
sournoisement.
L’infamie est d’affamer.
Partout sur les blogs , des mots qui crient la paix comme des prières pour arrêter les massacres!... Est-ce que quelques mots peuvent changer la bêtise de ceux qui sèment la guerre et les massacres... Ton poème et tous les poèmes d'amour et de tolérance, on devrait les semer dans l'Univers... un impossible rêve!...
RépondreSupprimerChaque matin alors
nous pourrions chanter avec Jacques Brel
"Quand on n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Quand on n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
À chaque carrefour
Alors, sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains
Ma mie, le monde entier"
Nous n'avons que nos cris de mots pour semer l'amour...
SupprimerQue dire de plus? Devant la bêtise crasse de certains gouvernements et certains gouvernants, nous ne pouvons que brandir nos mots pour dénoncer la haine qui s'installe. Quand est-ce que l'être humain deviendra sage? Bises alpines.
RépondreSupprimerCroire, espérer la Paix, une utopie?
SupprimerBises de ma Loire chagrine et froide.
Le monde est triste et noir. Pourrons nous garder un peu d'espoir ?
RépondreSupprimerJe peine à y croire... mais tant que le jour se lève il faut regarder le soleil se mettre à voler.
SupprimerSinon...
L'homme met son intelligence à sa propre destruction, guerres, pollutions diverses..c'est de plus en plus affligeant !
RépondreSupprimerDes larmes de sang inondent le monde, rien ne change.
SupprimerQuand on revient de fréquenter les animaux et leur sagesse insouciante, leur liberté, on a de plus en plus de mal à retrouver la connerie humaine, les carnages, la destruction. Cette image me fait penser à des gamins capricieux qui cassent tout dans leur chambre. Sauf que là, il y a plein de gens qui meurent... Marre de ces allumés du bocal qui font leurs caprices de psychopathes et jouent aux legos avec le monde. Devant cette vague de peur, d'indignation, de pessimisme, je n'ai que mon coeur et mes deux mains : j'étais bien, là-bas, loin de la foule déchaînée... Gardons la flamme, sinon, c'est la fin de tout. Je t'embrasse.
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tout comme toi, je suis écœuré, écœuré à n'en plus dormir.
SupprimerMais quand donc les hommes vivrons d'amour?
Écœuré et impuissant, même avec ma plume...
Je comprends ton choc au retour du Paradis...
Bises sombres cherchant la flamme pour ne pas se consumer.
❤️
Supprimer