Ma sagesse s’aiguise à l’orée du doute,
Épuise ma paresse au bout de la route.
Je cours, amusé, vers l’horizon indigo
Où s’allongent les brumes en de fins cristaux.
Épuise ma paresse au bout de la route.
Je cours, amusé, vers l’horizon indigo
Où s’allongent les brumes en de fins cristaux.
Brodé de nuit, le soleil pose son grimoire ;
Ton cœur chaud, ce soir, se glisse dans notre lit.
Tu sais me bercer, faire taire ma peur du noir.
Remontons la couverture en laine d’étoile,
Avant que nos rêves ne se soient tous enfuis,
Pour recouvrir nos épaules nues, sans voile.
Ton cœur chaud, ce soir, se glisse dans notre lit.
Tu sais me bercer, faire taire ma peur du noir.
Remontons la couverture en laine d’étoile,
Avant que nos rêves ne se soient tous enfuis,
Pour recouvrir nos épaules nues, sans voile.
Cette couverture en laine d'étoiles me ravit...
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
... tout est si calme en dessous.
SupprimerBises étoilées.
Coucou. J'aime lire tes mots. Et du coup, j'ai aussi moins peur du noir. Bises alpines.
RépondreSupprimerBonne nuit donc, fais de beaux rêves... disait l'homme au fifre sur son nuage blanc...
SupprimerTout est beauté et poésie et ce soir je crois que je prendrai avec moi "une couverture en laine d'étoiles"
RépondreSupprimerTu vas voir, elle est aussi douce et chaude que lumineuse.
SupprimerBonne nuit.
Chacun de tes mots est pesé et subtil ! Sinon comment tisser ce sublimes vers: "Ma sagesse s’aiguise à l’orée du doute" et que dire aussi pour ne pas répeter Céleste et Marie: " Remontons la couverture en laine d'étoiles".
RépondreSupprimerC'est de la poésie, comme on aime.
Merci
De rien.
SupprimerTon compliment me touche.
Je suis heureux que tu aimes.
C'est ma raison de partager.