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| Image rencontrée sur le net. |
Un rêve de feu, dévorant le ciel d’une nuit étoilée, dévale de la colline bleue. Des chevaux blancs, à la crinière libérée d’où s’évaporent mes silences dans une danse savante et musquée, galopent. La belle valse éblouie sur les scintillements de l’horizon ! Des perles nacrées, accrochées à tes dentelles de soies incrédules, bavardent pendant que se diluent les restes du jour. Tes jupons légers ondulent, brindilles incandescentes éparpillées sur le lit défait aux parfums diaboliques.
Je pose ma bouche entrouverte sur ta joue de porcelaine, dépose mon sourire sur le bord de tes lèvres… je guette tes mains. Sens ton souffle poivré, haletant de fatigue, fondre dans mon cou.
Je sais que le petit matin va venir me mentir… et que tes caresses sauront me rassurer.
Dans le silence, tes pensées galopent vêtues de nuit, de dentelles et de douces broderies de tendresse... Des moments qui font rêver à des petits matins d'espérance dans un cocon d'amour!
RépondreSupprimerL'espoir de réaliser un rêve pour rendre le matin plus tendre.
SupprimerUn frisson derrière chaque mot.
RépondreSupprimerUne sensualité en filigrane.
J'aime.
Un instant improbable, inattendu, un rêve suspendu, et les frissons tendent les mots comme la corde d'un arc.
SupprimerCupidon a bien raison de viser le cœur.