Matin sauvage. Le jour s’est levé ravi.
Dans la lumière si timide, notre lit.
Les rumeurs de l’ombre sont éteintes, taries.
La pluie, à petits pas et sans bruit, s’est enfuie.
Dans la lumière si timide, notre lit.
Les rumeurs de l’ombre sont éteintes, taries.
La pluie, à petits pas et sans bruit, s’est enfuie.
Debout, en contrejour, nue et fraîche, jolie,
Sur le fauteuil au velours épais, tu t’appuies.
Ta main douce essuie, sur la fenêtre, la nuit.
En toi rien n’est endormi, rien n’est engourdi.
Sur le fauteuil au velours épais, tu t’appuies.
Ta main douce essuie, sur la fenêtre, la nuit.
En toi rien n’est endormi, rien n’est engourdi.
Le lent murmure de ta vanille me suit…
Sensuelle et volatile, une amie.
Je dépose sur ta nuque, douce folie,
La chaleur piquante d’un baiser attendri.
Sensuelle et volatile, une amie.
Je dépose sur ta nuque, douce folie,
La chaleur piquante d’un baiser attendri.
Douceurs matinales sirotées au coin du bonheur...
RépondreSupprimerMagnifique !
Bel après-midi, Etienne.
Fabrice
La fuite du temps fugace qui se pose sur le bord du lit, et l'ombre se fait chinoise et suave...
SupprimerBelle semaine à toi poète.
Le lent murmure de ta vanille me suit...
RépondreSupprimerC'est beau comme un soir au-dessus de la mer alizée
¸¸.•*¨*• ☆
la vanille est là, elle me suit, elle la suit, elle nous fait respirer cette parenthèse dans une ombre presque éteinte, presque étreinte...
SupprimerBises couleur vanille.
Un merveilleux réveil tout en douceur et tendresse ! Bon WE pascal. Amitiés. Joëlle
RépondreSupprimerJe garde la tendresse pour un peu plus tard, et j'embrasse ce moment vanillé pour en faire un beau souvenir.
SupprimerBelle soirée.
Comme un chant fredonné pour celle qu'on voudrait voir toujours sourire à notre coeur.
RépondreSupprimerComme tu le dis bien... un superbe résumé de la magie de l'instant.
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