Les silences se plaignent des absences
comme d’un manteau trop lourd, comme d’un rire trop sarcastique, vénéneux. Les
départs ont le poids de la déraison, les mâchoires de la violence. Chaque bout
de notre mémoire est haché par des dents fines, acerbes, douloureuses.
C’est dur de pleurer, solitaire, les
aimés partis sur une rive qui s’éloigne, chaque matin un peu plus, de notre regard.
Pâles absences
Noirs silences
Cœur gris…
Noirs silences
Cœur gris…
Avec toi, de tout coeur.
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Trop d'émotions, ici ! ton coeur gigote et ta plume répand des complaintes silencieuses. Mon amitié Létienne.
RépondreSupprimerIl est des silences si écrasants, qu'aucun bruit ne peut effacer...
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Fabrice
Bonjour. Les aimés sur une rive qui s'éloigne... et pourtant si proches de nous car toujours dans notre coeur. Bises alpines affectueuses.
RépondreSupprimerMerci pour votre passage et vos mots si doux.
RépondreSupprimerParfois le temps est aux rires, parfois aux larmes, parfois aux silences.
Ce temps n'efface rien de ce qui gigote dans le cœur, il nous fait simplement aller plus loin, juste un peu plus seul.
Le soleil est à peine au delà de l'horizon.
Alors je marche.
bises à vous.
RépondreSupprimerLes absence se font parfois si lourdes
qu'elles créent des fissures et des vides
tout au fond de nous...
Oh! Oui lourdes... si lourdes.
SupprimerOn n’oublie pas, on ne s'habitue pas...