La nuit épaisse,
au moirage fourbe,
dévore mes songes outremer pour en faire des idées noires.
Les étoiles éteintes,
ternes,
explosent en tombant dans un gouffre
d’où s’élèvent des éclaboussures arrogantes,
en silence.
Mon cœur se sert jusqu’à la nausée.
L’angoisse répand son jus toxique dans mes veines.
Mes yeux,
livrés à un incendie vorace,
laissent jaillir un flot amère de perles d’encre.
Mon cri se perd dans la lande immense de la peur qui m’aliène.
Mon cœur se serre aussi en lisant tes mots ! Quelle connerie la guerre, quelle vaste connerie !
RépondreSupprimerBises cher poète
Je suis affolé et j'ai mal, mais tellement mal!
SupprimerLes uns rêvant de gloire et d'autres de pouvoir
RépondreSupprimerLes plus nombreux d'argent, les trois pour les voraces !
Des vices, à l'excès, enclins à t'émouvoir
Que depuis très longtemps souvent tu déplorasses.
Bonsoir Letienne,
Un petit message en passant pour saluer cet émoucant poème que tu liras quand tu seras dispo.
Mes félicitations pour ton concours.
Bises
Poser des mots sur ce genre d'évènement n'est pas simple.
SupprimerLa plume accroche, le papier se déchire et les mots sont aux abois.
RépondreSupprimerOui, pourquoi depuis tant d'années a-t-on laissé faire ce fou dictateur?
Juste cette chanson qui me revient...
Paroles et musique: Raymond Lévesque
Quand les hommes vivront d’amour,
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts, mon frère
Quand les hommes vivront d’amour,
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Bonjour Marie,
SupprimerJ'adore cette chanson d'ailleurs elle a été interprétée par de très nombreux chanteurs et j'aime beacoup la version "des enfoirés".
Bises
Des mots qui datent un peu, mais le monde ne change pas.
SupprimerLa force de cette chanson est d'actualité.
Je ne cois plus au changement du monde ni des gens.
Je respire dans ma bulle, en cachant mes angoisses et mes larmes.