Le vent vient de loin, froid et noir.
Porté par un ciel épais et sombre.
Il nous pique de ses étincelles grises, par
bouffées silencieuses.
La mort rode et le chagrin rampe.
Les souvenirs cheminent aussi, à petits pas.
L’air peut trembler, la nuit dessine déjà ton absence.
Et rien pour te retenir.
La solitude sauvage berce le jour en te fermant les
yeux.
Et tout ce temps qui nous sépare en taisant les
mots que tu n’entends plus.
L’hiver est là, à cogner sans relâche sur ta fin
de voyage.
Offrant l’ivresse des grands fonds à ta triste
agonie.
Avec toi, toujours, dans ces moments difficiles.
RépondreSupprimerMais au-dessus des nuages, l'astre est là.
Il attend son tour, j'en suis sûre...
Bises d'espoir
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L'hiver, même si c'est une belle saison, nous rappelle à notre condition. Le froid, le gris, l'absence et pourtant, il y a une lumière là-haut, qui brille au-dessus des arbres. Bises alpines.
RépondreSupprimerL'hiver se déchaîne en ses jours de fin d'an entraînant avec lui le froid glacial qui cogne à la porte, le temps passé, la vie écoulée et les regrets qui remontent à la surface. Là-haut le sOleil resplendit réchauffant le chagrin.
RépondreSupprimerBises qui espèrent encoeur'.
Mais si, si tu l'aimes elle entend tes mots au-delà du froid de l'hiver et des nuages.
RépondreSupprimerLe vent est messager
RépondreSupprimerpassager du temps qui passe
avec ses brumes écrites
avec des encres trop noires
Merci pour vos messages.
RépondreSupprimerIls sont l'écharpe moelleuse qui me réchauffe au cœur de l'hiver.
Merci.