Le temps qui passe ne surprend plus personne.
L’horloge compte les secondes avec ferveur.
Son balancier oscille inlassablement, de gauche à droite,
Pendant que des poids obstinés organisent la chute avec lenteur…
C’est bien la gravité qui commande…
L’horloge compte les secondes avec ferveur.
Son balancier oscille inlassablement, de gauche à droite,
Pendant que des poids obstinés organisent la chute avec lenteur…
C’est bien la gravité qui commande…
Un carillon léger nous surprend, de temps en
temps.
Cette horloge qui brasse les moments perdus, c’est
un peu de toi dans la maison.
Ce tic-tac infatigable et discret, c’est un peu de ton cœur qui bat dans ma raison.
Ce tic-tac infatigable et discret, c’est un peu de ton cœur qui bat dans ma raison.
Elle me rapproche de toi, de toi que je n’entends plus, de toi que je ne
vois plus.
Toi, le Père qui, dans ces soirs dévoreur de jour,
me manque.
J'ai beaucoup d'émotion à lire ce poème.
RépondreSupprimerTu comprends pourquoi je pense...
Mon père me manque tant.
Ça va faire bientôt un an...
Bises émues
¸¸.•*¨*• ☆
L'absence d'un Père c'est un peu une traversée de désert.
SupprimerNous cherchons une oasis mais elle s'apparente à un mirage.
Mon Papa est parti pour son grand voyage il y a 11 ans et je ne m'habitue pas à son silence.
Bises émues partagées.
L'absence est ici agréablement compensée par les objets du quotidien, témoins de nos souvenirs...
RépondreSupprimerCe sont des bruits familiers qui tracent un lien avec ce qui nous quittent.
SupprimerAlors, l'absence n'est pas vraiment présente.