Photo rencontrée sur le net. |
Prends ma main sans
crainte.
Viens.
Il y a des chemins qui conduisent vers la lumière,
où les ténèbres s’écartent
pour laisser s’envoler la colère.
N’aie plus peur,
je ne suis pas ton ennemi
même au cœur de l’hiver.
Tu ris comme nous,
tu chantes comme nous
et tes enfants portent le même parfum d’innocence
que les nôtres.
Chaque jour,
dans les rues froides,
l’indifférence
est ton fardeau.
Alors prends ma main,
marchons.
Derrière nos portes closes
se cache un peu d’humanité.
Ouvrons les, ensemble.
Tu n’as pas fait tout ce voyage
pour mourir comme
un chien,
sur un trottoir…
Si demain doit être,
il sera nôtre
ou il ne sera pas.
Tous ces gens qui souffrent, qui sont dehors en plein hiver en France et ailleurs, dans des pays en guerre ont tellement besoin de cette main tendue. Jointe à d 'autres, elle sera plus forte dans ce combat
RépondreSupprimerUn combat du cœur, mais pas que.
SupprimerSolidarité et humanité ont disparu de notre langage.
Merci pour ton poème... Tendons nos mains pour que règnent l'amitié, le respect, la tolérance, le partage
RépondreSupprimerAvec Enrico Macias chantons:
Enfants de tout pays
Tendez vos mains meurtries
Semez l'amour
Et puis donnez la vie
Enfants de tout pays
Et de toutes couleurs
Vous avez dans le coeur
Notre bonheur
C'est dans vos mains
Que demain
Notre terre
Sera confiée
Pour sortir de la nuit
Et notre espoir
De revoir la lumière
Est dans vos yeux
Qui s'éveillent à la vie
Séchez vos larmes
Jetez vos armes
Faites du monde
Un paradis
La vérité
C'est d'aimer
Sans frontières
Et de donner
Chaque jour un peu plus
Ce texte résume tout mon ressenti.
SupprimerMerci de le rappeler à notre mémoire.
Bien que tout ait été déjà dit ou écrit
RépondreSupprimerDepuis toujours sur l'art de vivre ensemble
L'humanité n'a pas entrepris il me semble
De suivre le chemin de charité precrit
Bonsoir Letienne,
Il furent nombreux à chaque époque les illustres à prôner la bienveillance alors peut-être que sans eux le sort du monde aujourd'hui serait pire mais je me dis aussi " chasser le naturel, il revient au galop " et que nous vivrons ad vitam cet éternel recommencement de domination du mal canalisé par de grandes et belles âmes !
Bisous
Ce que tu dis là n'est pas faux.
SupprimerMais je refuse la résignation.
Chacun de nos petits gestes est un acte de résistance.
Nous sommes petits en restant à genou, il nous semblent plus grands parce qu'ils sont debout.
Voilà la vérité: relevons nous...