Ce matin,
les plages immenses sont aussi loin que le ciel bleu qui borde l’océan.
Les
sifflements du vent s’égarent dans les méandres avachis de mes songes
déboussolés.
Quel jour sommes-nous
ma belle ?
Quel mois,
si tu t’en souviens encore ?
Il y a une
éternité que le temps s’est arrêté sur les tapis de sable humide.
Avons-nous
fermé les yeux ?
Ai-je dormi
dans le moelleux de tes bras ?
Dis-moi, le
monde existe toujours ?
Les enfants
savent-ils encore danser ?
Rire ?
Viens, ne
restons pas là, allons chercher la pluie pour arroser le cœur des gens,
Avant que
les crocs de la nuit hagarde ne viennent pour nous mordre.
Oh ! que j'aime tes mots matinaux si poétiques letienne.
RépondreSupprimerMerci beaucoup, même si la nostalgie qui réchauffe le coeur et l'âme, repose sur la page....
La mer, les plages, les murmures de l'eau me manquent...
Supprimerles perles de la pluie
RépondreSupprimerFeront des colliers de bonheur
Pour apporter d'autres sourires
La vie s'agite avec le rythme des marées...
SupprimerTout s'en va , revient, le doux et le sévère.
Jolis mots...
Ne regrettons ni le passé ni le temps présent sous prétexte qu'il ne correspond pas à ce que nous avons l'habitude de vivre. Chaque journée a son lot de gais et tristes moments.
RépondreSupprimerJe le sais, les regrets ne servent à rien...
SupprimerIl faut savourer ce qui nous arrive de beau, de doux, comme un cadeau.
Les moments difficiles donnent de la force à ceux qui sont agréables.
Parfois, il faut juste les provoquer ces bons moments.
Mais le silence et l'absence de ceux que nous aimons n'est pas facile à gérer.
Bonsoir, que j'apprécie vous lire, vos mots me transportent dans vos belles illustrations que vous nous partagez. Vous avez un merveilleux don poétique, ça le fascine ! Bonne soirée à vous
RépondreSupprimerMerci pour vos compliments...
SupprimerHeureux d'une lecture heureuse.
C'est une rencontre inattendue de l'Ardèche et de la Loire.
L'Ardèche, encore un projet d'escapade.
Ce temps est dur pour les poètes, les intermittents du rêve et de la fantaisie.
RépondreSupprimerOn ne parle plus que de chiffres froids et désincarnés...
Alors tes mots sont des perles précieuses, encore plus que celles de la pluie...
Bises cher Etienne
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Oh! Oui c'est dur.
SupprimerNon essentiel, l'esprit sèche, se racornit,
Nourrit des rancœurs et beaucoup de spleen.
Garder la tête hors de l'eau est un travail fastidieux.
Si j'apporte à cet univers qui somnole un peu de cette pluie qui le garde vert,
mon bonheur est fait.
Et ce qui me fait surtout du bien, ce sont tous ces mots qui viennent habiller cette page.
Les tiens, pour les raisons que tu connais bien, ont une place toute particulière.
Bises le la voie lactée.