La nuit berce la fin du jour, écoute les sales rumeurs qui courent
alentour.
Dans le bleu sirupeux, je guette les mots qui font rêver, le rire qui fait pleurer.
Dans le sombre au parfum de lauriers inutiles, je sens le frisson du silence mordant qui t’emporte dans le monde fade des songes décolorés. Dans cet ailleurs si petit, il n’y a pas de place pour ta poésie.
Dans le bleu sirupeux, je guette les mots qui font rêver, le rire qui fait pleurer.
Dans le sombre au parfum de lauriers inutiles, je sens le frisson du silence mordant qui t’emporte dans le monde fade des songes décolorés. Dans cet ailleurs si petit, il n’y a pas de place pour ta poésie.
Tu t’envoles, et la terre se couvre de larmes…
Pars, surtout ne te retourne pas… la vie va être moins flamboyante
sans toi.
Merci pour ce bel hommage à ce fabuleux poète ... Il brille désormais parmi les étoiles
RépondreSupprimerTrès beau blog :)) Belle et douce soirée
Merci pour la visite, qui sait, à bientôt.
SupprimerUn bel hommage
RépondreSupprimer***
"Pourra-t-on un jour vivre sur la terre
Sans colère, sans mépris
Sans chercher ailleurs qu'au fond de son coeur
La réponse au mystère de la vie
Dans le ventre de l'univers
Des milliards d'étoiles
Naissent et meurent à chaque instant
Ou l'homme apprend la guerre à ses enfants "
Un bel homme et un poète qui me touchait au fond du cœur.
SupprimerLe texte m'accompagne dans l'émotion. merci.
Il a marqué toute une génération qu'il va quitter comme il a vécu : sans "esbroufe" . C'est bien que tu lui rendes hommage.
RépondreSupprimerMon plus beau souvenir: 1981, à Mogador. Énorme!
SupprimerUn grand bonhomme qui s'en va. Je me sens un peu orpheline de poésie aujourd'hui. Bises alpines et merci pour cet hommage. Bises alpines.
RépondreSupprimerUn poète fou, mais tellement sincère...
SupprimerDes mots sobres pour un homme au coeur en couleur qui nous quitte simplement et sans retour.
RépondreSupprimerIl n'aimait pas la grandiloquence.
SupprimerEncore un rayon de soleil qui s'éteint, au pays de la musique...
RépondreSupprimerLes enfants des seventies sont tous un peu orphelins..
¸¸.•*¨*• ☆
C’est une curieuse tristesse qui me berce depuis l’annonce de son grand voyage. Je l’écoute en boucle et, curieusement, une joie triste émerge avec mes souvenirs. Des traces de bonheur, toutes simples, comme lui.
SupprimerBises légères.