J’ai
retrouvé dans une poche de ma vie
Un amusant ticket,
Un amusant ticket,
Tout jaune,
Tout
délavé,
Troué.
Un zeste de
voyage.
Un bout de
mur gris.
Paris St
Lazare tout rouge dans une flaque blanche.
Des gouttes
de pluie, parfum gris de la capitale.
Une larme
aussi,
Ton baiser au
goût de fruit mûr,
Les
couloirs du métro,
Montmartre,
son sacré Cœur…
La beauté de
ta jeunesse,
Les matins
fragiles comme un rire d’amant,
Quand rien
n’avait d’importance.
Ton regard
offert,
Notre
adolescence de concert,
Tes lèvres,
Ton insouciance
jolie,
Mon impatience
ravie.
J’ai
retrouvé dans une poche de ma vie
Le ticket de ton poème…
Le ticket de ton poème…
C'est sympa de retrouver de petits objets qui nous rappellent de tendre souvenirs. Maintenant, plus de tickets, on peut souvent acheter les billets sur le téléphone portable. Cela gâche un peu le plaisir. ;-) Bises alpines et belle semaine.
RépondreSupprimerJe n'avais pas pensé à cet aspect des choses...
SupprimerLa dématérialisation à tout va nous privera de ce genres de retrouvailles.
C'est bien triste...
Bises de ma Loire.
Un fragment d'innocence et de nostalgie.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup... ;-)
Bisous cher poète
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Et pourtant, un ticket de métro ce n'est pas bien grand.
SupprimerMais j'y ai retrouvé tant de choses.
Comme le dit très bien Dédé: ça ne sera plus possible.
Bises en voyage.
Dans les boîtes oubliées, on trouve souvent de beaux souvenirs!
RépondreSupprimerJ'aime parfois y fouiller et r^ver
Des souvenirs qui ne meurent jamais,
Supprimergrâce à ses bouées de sauvetage.
La vie avance mais nous n'oublions rien entièrement.
C'est ça notre fortune.
Un ticket de métro, tout comme un mot sur un papier retrouvé, tout est sujet à souvenirs.
RépondreSupprimerBelle fin de journée, Letienne.
Toutes ces petites choses sont le lien qui nous accrochent à la vie.
SupprimerLe bonheur présent se construit avec les choses d'hier.
C'est si bon de ne rien oublier.
Zeste de voyage, restes du temps qui passe...
RépondreSupprimerTu as remarqué la subtilité de ces deux mots...
SupprimerEt du jeu que je leur prête.