L’air est chaud. Il dessine ses
ombres humides autour des lumières pleines de couleurs.
Le temps passe sur la terrasse,
oublie de se perdre dans nos bavardages déjà remplis de rêves, d’attentes, d’espoirs.
La nuit, lourde des rumeurs du
jour, sommeille, fatiguée des premières chaleurs insolentes venues nous mordre
sous le regard du magnolia silencieux.
Un bout d’été égaré dans un avril
capricieux.
Mes yeux te frôlent. Tes rires me
caressent. Nos verres se vident…
Le soleil pose sa main tiède sur
nos épaules pour garder son équilibre.
L’horizon lui ôte, avec une grâce
mesurée, sa chemise et son écharpe de tulle…
Restent nos bouches aux lèvres
sucrées pour parler avec audace des heures qui vont bientôt nous bercer avec
tendresse, avec ivresse…
Ces instants ! comment ne pas les aimer...Bises tardives
RépondreSupprimerHeureux de te revoir, ma Belle!
SupprimerDoux instant au tendre parfum de l'été. En plein avril, voilà une belle promesse.
Bises teintées de nuit.
Du bonheur qui glisse dans un verre aux mille paillettes de la nuit... :-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un verre plein d'étoiles dans une robe jaune d'or.
SupprimerOh, la nuit...
Romantisme nocturne
RépondreSupprimerCet instant, presque entre chien et loup, quand la lumière des lampes tintent à nos yeux ravis, est un trésor.
SupprimerJOLI
RépondreSupprimerMerci...
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