Le vent est
encore frais.
L’horizon lumineux.
L’horizon lumineux.
La lumière
qui danse là
pose sur nous des reflets généreux.
Sans y prendre garde,
nos cœurs paisibles pourraient y croiser
des amoureux.
pose sur nous des reflets généreux.
Sans y prendre garde,
nos cœurs paisibles pourraient y croiser
des amoureux.
Au château de L’Islette,
ils sont un peu partout chez eux…
ils sont un peu partout chez eux…
La fragile silhouette de Camille Claudel
n’est pas bien loin…
n’est pas bien loin…
La barbe touffue d’Auguste Rodin non plus…
La magie est restée colorée !
Ravi pour toi pour ce nouveau paysage dans ton nouveau blog. Ta poésie est toujours pleine d'entrain et d'envolée lyrique.
RépondreSupprimerIl fallait que je passe à autre chose, plus ouvert.
RépondreSupprimerJe parlerai de la Loire bien sûr, mais pas que.
Je ressentais le besoin de cette liberté.