Je l'ai croisée
au milieu des azalées,
dans le doux jardin coloré
de Maulévrier.
Elle portait sa soie
fleurie,
un vaporeux kimono brodé,
serré sur sa silhouette jolie.
Ses yeux, comme des ailes de papillon
juste battant au rythme de la saison,
ont jeté un trouble amusé
dans mon cœur grand ouvert.
un vaporeux kimono brodé,
serré sur sa silhouette jolie.
Ses yeux, comme des ailes de papillon
juste battant au rythme de la saison,
ont jeté un trouble amusé
dans mon cœur grand ouvert.
L’harmonie
d’une femme artiste…
Sobre élégance pour l’heure du thé.
Et si j’avais simplement rêvé,
inventé son éventail bavard, triste,
sa chevelure noire, nouée,
ses lèvres rubis dans la lumière...
En contre bas,
chantait l’eau et l’ombre dans une symphonie apprivoisée.
Quelle charmante rencontre !
RépondreSupprimerEt tellement inattendue!
SupprimerL'instant méritait bien quelques photos...
Parfois, le rêve se confond avec la réalité! Quelle charmante apparition dans les allées fleuries. Bises alpines.
RépondreSupprimerLe jardin est superbe, mais cette petite touche de rêve m'a donné la banane pour un bon moment.
SupprimerMagique.
Bises de ce lieu intemporel.
Un joli jardin où il fait bon se promener dans un cadre très romantique...
RépondreSupprimerTu as fait un portrait sublime de cette belle Geisha parmi la verdure et les fleurs...
Le jardin est incontournable... encore plus maintenant si des Geishas s'y promènent...
SupprimerTrès inspirant.
Quelle beauté extraordinaire...Je ne savais pas que tu habitais si près du Japon.
RépondreSupprimerMerci frangin pour cette parenthèse charmante dans un jour gris de « saints de glace»...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Pas tout à fait à côté... Il faut prendre la voiture 😂. Mais ce magnifique jardin est un vrai voyage vers la sagesse. C'est l'autre Japon. L'apparition d'une Geisha, un instant suspendu. Bises fleuries Frangine.
SupprimerUne rencontre qui ne pouvait que faire chanter la plume du poète...
RépondreSupprimerBelle soirée, bises de mon îlot qui songe à l'hiver
Rencontre et partage coloré, plein de poésie. Bises de ma Loire où le printemps hésite encore...
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